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L’un des romans les plus forts, en tout cas l’un des plus inoubliables de la littérature africain ...



Les promesses à venir :

527) L'autre Afrique de Serge Latouche (France) (Carmen et Daniel)
On connait les positions critiques de l’auteur concernant le capitalisme et son idéologie mercantile et globalisante et son engagement dans les rangs de la « Décroissance ». Dans ce livre, Serge Latouche nous présente une Afrique éloignée de l’image que le système veut bien en donner, et propose une analyse des réalités et des potentialités du continent africain, vu par lui comme un véritable laboratoire de l’avenir, entre don et marché. Même si l’on ne partage pas entièrement cette analyse et les conclusions que l’auteur en tire (c’est mon cas), cet ouvrage ouvre un large champ de réflexion sur notre réalité et notre actualité. (DV)

528)Johnny, chien méchant d’Emmanuel Dongala (Congo Brazza) (Carmen et Daniel)
Ce roman m’a tenu éveillé un certain nombre de nuits… cette histoire de milices d’enfants soldats à l’innocence brisée et de fuite éperdue devant l’absurdité de la guerre et son cortège de cruautés a donné à mon point de vue l’un des romans les plus forts, en tout cas l’un des plus inoubliables de la littérature africaine. Âmes sensibles… blindez-vous ! (DV)

529) Zulu de Caryl Férey (France) (Carmen et Daniel)
Grand Prix de littérature policière en 2008, « Zulu » est un thriller comme il y en a peu, qui a pour cadre l’Afrique du Sud. L’enquête sur l’assasinat d’une jeune fille dans le jardin botanique de Kirstenbosch est le prétexte choisi par Caryl Férey pour nous décrire une Afrique du Sud débarassée (officiellement) de l’Apartheid mais toujours en proie aux vieux démons de la misère, de l’injustice et de la violence sociale.
Le roman a été adapté au cinéma par Jérôme Salle. (DV)

530) L'enfant noir de Camara Laye (Guinée Conakry) (Carmen et Daniel)

531) le Docker noir de Sembene Ousmane (Sénégal) (Sylvie G)
Le premier livre de Sembene Ousmane vient d’être réédité pour les 100 ans de la naissance de l’auteur par Héliotropisme et c’est un succès. Très jeune, l’auteur s’est opposé au mouvement de la négritude emmené par Senghor et Aimé Césaire soulignant que La débilité de l’homme de chez nous qu’on nomme notre Africanité, notre Négritude maintient l’oppression, développe la vénalité, le népotisme, la gabegie et ces infirmités par lesquelles on tente de couvrir les bas instincts de l’homme. Que l’un de nous le crie avant de mourir est la grande tare de notre époque.


Habib KANE
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