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F. G. Lorca (dernière partie)
Dostoïevski : "Envoyez-moi des livres, des livres, beaucoup de livres pour que mon âme ne meure pas !". Il avait froid ; ne demandait pas
le feu, il avait une terrible soif, ne demandait pas d'eau, il demandait des livres, c'est à dire des horizons, c'est à dire des marches
pour gravir la cime de l'esprit et du coeur. Parce que l'agonie physique, - biologique, naturelle d'un corps, à cause de la faim,
de la soif ou du froid, dure peu, très peu, mais l'agonie de l'âme insatisfaite dure toute la vie.
Le grand Menéndez Pidal - l'un des véritables plus grands sages d'Europe - , l'a déjà dit : "La devise de la République doit être
la culture". La culture, parce que ce n'est qu'à travers elle que peuvent se résoudre les problèmes auxquels se confrontent aujourd'hui
le peuple plein de foi mais privé de lumière. N'oubliez pas que l'origine de tout est la lumière.
Discours de Federico Garcia Lorca à la population de Fuentes Vaqueros (Grenade), en septembre 1931 (dernière partie).
Federico Garcia Lorca a été assassiné le 19 août 1936 à Viznar par les milices franquistes.
Les arrivages :
289) La mémoire courte de Louis Ferdinand Desprez (AFS) (J-L et Betty)
290) Afropean soul de Leonora Miano (Cathy RMD)
291) La révolte des bovidés d’Amadou Hampâté Bâ (Cathy RMD)
292) Afropean soul de Leonora Miano (Cathy RMD)
293) Un yankee à Gamboma de Marius Nguié (Cathy RMD)
294) African Tabloïd de Janis OTSIEMI (Jacky)
Je rappelle l’adresse de la bibliothèque :
Habib KANE
BP 427
Diourbel, Sénégal
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