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Arrivage (en or) massif...
Ça bouge, ça bouge en cette fin d’été !!!
Le Pascal (le taulier de CAPTE) nous gratifie de 13 titres reçus ce jour par Habib grâce à un tarif dégoté à la poste dont
il va me donner le secret que je divulguerai largement lors de notre prochain petit mot.
Mais aussi Marême DIAW, notre coordonatrice avec Habib à Diourbel a amené personnellement deux livres :
Dans la mer il y a des crocodiles de Fabio Geda (Parfois, pour sauver quelqu'un, il faut savoir l'abandonner. C'est ainsi qu'Enaiatollah
Akbari, un enfant afghan de 10 ans, se retrouve seul et sans argent au Pakistan, où il a été laissé par sa mère. Par ce geste désespéré,
celle-ci a voulu le soustraire à des marchands pachtounes qui le réclamaient comme esclave en remboursement d'une prétendue dette
de son père, assassiné par des bandits. Sans se laisser abattre, le garçonnet, courageux et débrouillard, entame un périple
de plusieurs années et plusieurs milliers de kilomètres qui l'amènera en l'Italie, où ayant obtenu le statut de réfugié politique,
il essaye aujourd'hui de se reconstruire une vie.)
"La ballade des Sabadors" de Sokhna Benga (Sabador : mot wolof, polysémique, il désigne, non seulement, la tenue traditionnelle
de l'homme sénégalais composée d'un pantalon et d'une sorte de boubou d'un modèle spécial, mais aussi, par extension, le porteur
du vêtement lui-même, le mâle dans sa posture empreinte d'ambition amoureuse et de prétention aristocratique, si l'on peut dire.
Au cœur de La balade du sabador, les destins parallèles de deux sœurs jumelles, Ngoye et Mayé, dans une contrée où le mythe
du sabador (père, époux) domine les mentalités. La soumission de la femme s'y pense comme une évidence, aux désirs de
l'homme, comme aux caprices des djinnés, génies. Jusque dans leur gémellité, les deux sœurs symbolisent sous la plume
de Sokhna Benga les deux attitudes possibles face au poids des traditions conjugales : l'obéissante Ngoye subit,
tandis que Mayé, le garçon manqué qui se veut une femme libre de choisir sa vie, préfère porter l'estocade contre leur père Mayécor)
Cette bibliothèque commence à avoir de la gueule...
Arrivages donc :
214) La salamandre de Jean-Christophe Rufin (Pascal)
215) Puisque rien ne dure de Laurence Tardieu (Pascal)
216) Les fils nègres de Vercingétorix d’Alain Mabanckou (Pascal)
217) Un traître à notre gout de John Le Carré (Pascal)
218) La concession du téléphone d’Andrea Camilleri (Pascal)
219) L'espion qui venait du froid John le Carré (Pascal)
220) La cantique des innocents de Donna Leon (Pascal)
221) Comme un père de Laurence Tardieu (Pascal)
222) La femme du tigre de Téa Obreht (Pascal)
223) Dernier refuge de Patricia MacDonald (Pascal)
224) La fille sans visage de Patricia J. MacDonald (Pascal)
225) Petite sœur de Patricia J. MacDonald (Pascal)
226) Un peu plus loin sur la droite de Fred Vargas (Pascal)
227) Dans la mer il y a des crocodiles de Fabio Geda (Marême)
228) La ballade des Sabadors de Sokhna Benga (Marême)
Et les promesses continuent (on n’arrête plus le Pascal !) :
Aujourd'hui c'est le départ des polars :
232) Rapt de nuit de Patricia Mc Donald (Pascal)
233) Origine suspecte de Patricia Mc Donald (Pascal)
234) La double mort de Linda de Patricia Mc Donald (Pascal)
235) Expiation de Patricia Mc Donald (Pascal)
236) Personnes disparues de Patricia Mc Donald (Pascal)
237) Un coupable trop parfait de Patricia Mc Donald (Pascal)
238) Une femme sous surveillance de Patricia Mc Donald (Pascal)
239) J'ai épousé un inconnu de Patricia Mc Donald (Pascal)
240) Coule la seine de Fred Vargas (Pascal)
241) Le vieux nègre et la médaille de Ferdinand Oyono (Pascal)
Vous, nous sommes formidables...
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