Vers accueil

Pour beaucoup, vivre se résume à essayer de vivre.



Quand dire ne sert plus à rien, le silence est une ouate offerte à l’esprit. Pause ! on peut prier en silence et le diable ne répétera jamais ce qu’il n’a pas entendu. Perdre un enfant, toutes les femmes peuvent se l’imaginer, même celles qui n’ont jamais enfanté. Mais comment dépeindre la peine d’une mère qui attend son enfant, sans jamais être certaine de le revoir ? Les veuves, on les plaint, on les cajole, on les entoure de compassion. Mais comment s’avouer veuve éplorée, quand on a enterré personne ? “ Celles qui attendent ” Fatou DIOME. (remarquable livre... que je conseille à tous)

R.A.S me dit Habib du coté des arrivages... on est scotché à 96 livres.

Du coté des promesses : Une nouvelle venue Cécile Barrois (Que l’association des bibliophiles pour la conception d’une bibliothèque d’Auteurs africains ou d’auteurs ayant écrit sur l’Afrique à Diourbel accueille dans ses rangs et salue) qui a commandé Niiwan de Sembene Ousmane, ce qui nous fait 139 livres.


Dans les auteurs découvert cette semaine : Achille Mbembe, Camerounais, professeur d’histoire et de science politique. Il a écrit « Sortir de la grande nuit » Essai sur l’Afrique décolonisée.

Bise donc à la nouvelle association ABCBAAAAD. (Association des Bibliophiles pour la Conception d’une Bibliothèque d’Auteurs Africains ou d’Auteurs ayant écrit sur l’Afrique à Diourbel)